Vous avez été nombreux à nous poser cette question :
– le notaire lors de la signature de la SCI,
– nos clients respectifs avant ou après une discussion sur un dossier en cours,
– les coworkers en visitant les locaux,
– les amis curieux…
Mais vous êtes tout aussi nombreux à n’avoir pas osé nous la poser. Laissant la question en suspens.
Aude, co-fondatrice vous explique…
Parce que ! Cette réponse, prise d’une publicité culte, ne risque pas d’être suffisante et en plus elle ne serait pas juste. Il y a au fond différents niveaux de lecture.
Pour la plupart 👉 Un nom marrant proposé par des créatifs déjantés
Pas faux, il est atypique et donc marque les esprits. Le concept se décline à l’infini et on y est allé à fond ! La couveuse, le perchoir, le poulailler sont autant de noms d’espaces que nous avons pondus 🥚. Et pour les posts des réseaux sociaux, surfer sur ce sujet, mais qu’est-ce que c’est drôle !
Du coup, on fait rire, on crée du lien, de l’attachement, une présence à l’esprit, du contact… Que demande le peuple ? (ou la volaille)
Pour les initiés 👉 Il s’agit d’une contrepèterie
Eh non, tout le monde ne l’a pas vue. Et ceux qui l’ont vue n’osent pas croire que nous l’avons fait de manière volontaire (sauf ceux qui connaissent Jean-François, co-fondateur à l’origine de cet espace de co-working).
Mais c’est quoi une contrepèterie❓Un jeu de mots où en inversant les lettres on obtient un second sens plutôt burlesque, et souvent obscène 🍑. Je vous laisse chercher.
Et en fait, ce nom est à l’origine une private joke qui marque mon niveau en contrepèterie. J’ai lamentablement raté, pas le passé, un test réalisé par Jean-François et Bruno Hermanche : déchiffrer 1 contrepèterie par jour 🗓️. Je n’ai comprise que celle du jour 1… celle-ci !
C’est devenu depuis ce jour, le nom de code de tous nos dossiers communs sans nom. Et voilà comment le tout a démarré. Sauf que là, on s’est dit pourquoi pas le conserver.
Alors mon père n’aime pas ! Il adore le lieu, l’idée du coworking mais pour lui, là je suis allez trop loin. J’ai adoré lui répondre : « J’entends ce que tu me dis mais je n’en ai rien à faire… »
Parce que le concept prend, les gens s’en rappellent, ils nous en parlent et n’est-ce pas l’objectif de toute communication ?
On ne perd pas en crédibilité, parce que tous les autres éléments montrent le contraire et rééquilibrent le discours.
C’est une marque habitée, un clin d’œil humoristique, à la fois sympathique et impertinente. Elle a pris forme dans nos esprits et donc vu qu’on joue avec, le message passe super bien. Et là où nos clients n’osent pas toujours nous suivre, nous ne pouvions pas nous permettre de ne pas y aller.
C’est un parti-pris, on l’a pris et on en assume les conséquences !
Qu’en dites-vous ? (mais attention selon votre réponse je risque de vous répondre la même chose qu’à mon père) Êtes-vous conscient de cette conclusion fatale ? 😜🤣